C'est un cri, c'est un chant, qui s'est répercuter, sur vos caravanes oubliées. Qu'on a brûlé, après vous avoir gazé.
C'est un cri, c'est un chant, dans les camps de la mort, vous y avez été pousser. Vous ces gitans oubliés, et méprisés.
C'est cri, c'est un chant, qui coulent dans le sang de vos descendants, qu'on méprise encore, après toutes ces années.
C'est un cri, c'est un chant, qui transformera, la haine du passé, de nos aînés tzigane qu'on a profané.
C'est un cri, c'est pas un chant, que nos manouches ont hurlé, dans cette douche, délabrée.
C'est un cri, c'est un chant, que nos roms ont véhiculé, dans ses wagons oubliés, d'un passé compliqué.
C'est un cri c'est un chant, pour mes oubliés opprimés, qu'on a massacré, pour une idéologie répugnante.
C'est un cri, c'est un chant, seuls les juifs l'ont compris, ils ont la même souffrance, que mes aînés gitans.
C'est un cri, c'est un chant, dans nos veines coule le même rouge sang, mais la haine les anime, au lieu de les réunir.
C'est un cri, c'est un chant, c'est à nos enfants, d'entretenir leurs souvenirs.
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