Quand j'ai entendu....
Quand j'ai entendu leur cri.
Tu as gardé...
Tu as gardé le silence
Quand j'ai entendu
Quand j'ai entendu ce son
Vous aviez quoi 3.....
vous aviez quoi 3-4 kilos en trop, on vous traitait de gros.
Vous aviez quoi 6....
Vous aviez quoi 6-10 ans, je venais de passer mon BAFA.
Elle avait pas.....
Elle avait pas les mots pour mettre sur tes maux. Sa vie est allé aussi vite que cette moto de 1990. Elle a boxéles autres pour déballés ses cadeaux qu'elle se payait, le 25 décembre. La vie ne lui a pas fait de cadeau, comme on lui avait promit, elle a croisé au loin des phares mais personne n'a été le sien. On lui dit qu'elle est son unique phare, alors pourquoi vouloir lui imposer un crétin qui n'est pas son phare ? Elle a dû laisser des siens sur le bas côté pour vivre un enfer qui n'était pas le sien, mais qu'on lui a imposer soi disant au nom de l'amour d'un homme. Elle a beau essayer de faire entendre sa voix mais personne ne l'écoute, ses rêves n'ont jamais été réalisé, on la pousse à réalisé les rêves d'un autre, soi disant parce que c'est son destin à lui. Mais on lui dit qu'elle a le choix, mais elle n'a aucun choix puisqu'on lui impose. Son choix elle devait le faire humainement mais au final elle est quoi ? Une extraterrestre pour qu'un homme ne sache pas l'aimer comme elle est et qu'on soit obliger de la détruire pour lui imposer contre sa volonté ? Elle reste pas les bras croisés pour défendre ses fauves, ses défenses sot plus aiguisées que l'ivoire. On l'a prise pour un chaton perdu mais elle a toujours été cette lionne. Son vieux lion est encore plus fou d'elle qu'elle de lui, il lui dira un jour qu'il est fière d'elle. Cette enragée s'est engagé à combattre au côté des opprimés. Elle a décidé qu'elle était apprivoisable et indomptable. Mais seul un plus fou qu'elle pourra l'aimer telle qu'elle est.
Elle avait quoi......
Elle avait quoi 17-19 ans, elle a passer son BEP. Elle n'avait pas le choix de sa voie. elle a sacrifié son BAC G dans un lycée privé. Elle n'écrivait pas l'allemand et pourtant elle l'avait un peu apprit mais pas comprit. Elle en a écrit des lettres à ses 14 ans à son ami. Ils se sont perdu comme certaines des réponses à ses question qu'elle se posera plus tard. Elle n'attendait pas le prince charmant à ses 20 ans. Elle a toujours fait un emploi bon marché face aux préjugés des mieux élevés. Mais elle n'avait jamais eu l'idée qu'elle serait un jour jugé par les siens. Afin de lui imposer un bon à rien pour des soi disant meilleurs lendemain. Elle avait 17-19 ans, elle préférait la montre à la pendule, elle n'a jamais perdu le nord, avec son Thor comme bouclier, mais elle pers sa carte qui la guide suite à sa mauvaise qualité de gaîté. Elle pensait avoir fait un choix, mais elle a assumé s'être tromper, on ne lui renouvelle pas ses droit comme ses aînées ont décidées de sa vie.
la petite hongroise
Elle s’apprivoise mais elle est antibourgeoise notre jolie ardoise. Notre bavaroise n’est pas brunoise même si elle parait lunois. Elle n’est pas cochinchinoise même sans cibouloise, elle reste dignoise.. Elle a la poisse, elle est dans la ghettoise notre petite hongroise. On la prend encore pour une mogoloise mais elle se liberéroise et elle est plus malisoise avec ce je-ne –sais quoi de prgoise. Elle a été violatoise et sumoroise mais a surmontoise et elle nous toise comme bourgeoise et on en patoise devant notre nunuchoise.
la petite brune des ses voyageuses
Ta Mélina accompagna son alinéa de papouna avec ses ragnagnas mais sans ses nanas. Tu t’acharnas à l’abandonne ta madonna abomina. Mais ta Mélina additionna et badigeonna dans sa bérézina. Tu baratina sans bastonna. Tu bourdonna sa calamina. Mais Cantonna capuchonna notre poupina. Nous les Léona les Pichoffna et koslerna nous cartonna, nous castagna le chouina sans coucougnas tu es dans ton slipina. Tu te coltinas une cochonna car notre poupina te couillonna. Elle Crayonna sans se débobinna, elle te déboulinna, mais sa caféina la décontamina de ta goulna. On la déraisonna pas, elle désenfourna ta destina et te détalonna sans discrimina. Elle t’efimina comme ta blondina sans poitrina que tu badigeonna de ton spermina à la pleine luna. Mais notre poupina tu l’enfarina encore sans la respecta, elle se s’époumona pas, tu t’en étonna pas car tu as ton âme sœur dans ta maisonna. Tu pensas à une bruna comme un gros déguela alors que tu juras fidélita à ta blonda. Quel goujana se brala sur une autre femma que la sienna ? Porca un jour salasse toujours. Notre Poupina de Rébecca mérite mieux qu’un Robin des bois infidéle et salasse. Au moins elle se respecte.
La complainte de la sucette
Tu as donné une sucette à ta majorette, elle était au goût cacahouette. Tu l’as prise pour une girouette, en faisant une pirouette. Mais tu en as perdu tes castagnettes, en faisant usage de ton arbalette. Tu l’as prise pour une gazette, mais elle n’est pas une pissette car elle ne va pas au bal-musette. Elle n’a pas la main sur ta braguette !!!! Tu l’as prise pour une simple amourette, elle est ta vedette. On veut lui couper la tête comme à notre Marie-Antoinette !!! Elle n’est pas le chant d’alouette mais elle a la vue nette. Elle est pire qu’une baïonnette notre blanchette, elle ne sera jamais ta barquette !!!! Cela fait belle lurette qu’elle est notre bichette, on aurait aimé se la promener à bicyclette, notre poupette !!! Mais elle a fini par ne plus aimer jouer avec les biscouettes, elle aime que les blagounettes, notre chouquette !!!! Elle aime qu’on lui compte fleurette, mais elle fait une belle brochette notre bonhommette !!!!! Elle est l’allumette de ta bistouquette, mais notre zigounette n’est pas à l’anis, elle est épicéé notre petite bilboquette tant aimée !!!! Elle aime les galipettes, tu l’as déjà bourette. Mais on te la ceinturette, on te la projette dans ta chambrette, Ne la mélange jamais avec des serviettes notre chouquette, tu risques une branlette de notre blondinette. Notre bricolette ne fait point causette. Ses lunettes la chouquinette,. Elle va te casser la brouette notre pitchounette. Alors aime la comme elle aime les omelettes.
Le Thor et cette Loki
Je dois ma naissance, à ce Thor et à cette Aphrodite. Il avait en lui cette force morale, face à l’adversité de son passé décomposé jamais rassemblé. Elle avait en elle cet amour inconditionnel des siens et de ses anciens. Il a été mon Poséidon face à mes maux, il est mon Cupidon des mots. Elle est mon Athéna, malgré qu’elle n’a pas eu l’art. Elle a été mon Loki dans sa façon de chahuter toujours avec espièglerie. Ils ont été mon Thor et mon Odin contre vents et marées. Mais ils ont fait de moi : Cette Geb comme il l’ont été pour moi,
La petite violée de ses aînées
Ils sont censés être tes ainés d’un passé ignoré. Mais tu les as tellement dégoutée, par ton passé de poupée violée, Qu’ils t’ont eux même imposé, ils t’ont encore prénétrée avec leurs idées périmées, d’un soi-disant lien d ’éternité qui n’a jamais été réalité, ils te disent te guider et t’aimer pour ton intelligence, Mais leur souhait secret n’est que ta déchéance. Tu leur dois ta créativité, qui pour eux est « inée ». Tu leur dois une créativité débordante, une intelligence sans nom. Mais même tes pensées te sont imposées. Sans eux, tu ne peux plus rien faire, on te le fait bien remarquer, ta stupidité les comble de bonheur. Ils te feront brûlée sur leur bûché, Quand leur mâle aimé t’aura profanée. Pour eux, tu es le diable, car tu ne veux pas les écouter. Mais, pourtant ils te promettent Prospérité et t’aimer. Sans rien de prouver, sauf te poussé vers leur feu de l’enfer. Ils n’ont qu’à ton égard que méprit, ils veulent te voir donner sans compter. Mais toi tu as le droit de rien recevoir. Ils te privent de toute ton humanité, de tout ce que tu aimais. Alors que c’est eux, qui t’y avaient pousser. Tout ce que tu es et fait en tant qu’être humain leur déplait. Seules leur spiritualité et leur capacités médiumniques doivent comptée. Seul leur descendant mâle a le droit d’être, et de faire et d’aller, sous prétexte que sa plus grande déchéance, serait l’idée de te perdre. Mais toi on te fait perdre la tête ta famille, tes amis. Mais ce n’est pas toi le plus important pour vos guides. Toi, tu n’as plus Le droit d’être, tu n’as plus de droit de faire, ce qui te plaît, Sauf ce qu’on t’impose. Plus le droit de dire, plus le droit d’écrire sauf ce qu’on te dicte. Plus le droit de communiquer sauf avec les amis qu’ils t’auront imposés. Et tu seras dans l’obligation d’aimer les amitiés qu’ils t’imposeront. Te rabaisser, t’humilier, te mépriser, les fait bander. De tes pensées Ils en font un feu de joie. Ta joie, ta gaîté ne sont que des déchets, comme toi ! A leurs yeux, tu n’es rien, tu n’existes pas, tu vaut rien. Tu as juste de droit de te taire, et subir leur justice divine dans leurs flammes de l’enfer, au nom de leur amour inconditionnel. Te voilà enfin récompensée d’avoir Eté une poupée violée. Ils vont jusqu’à t’imposé leur enfant divin, afin que tu le délivre de sa jalousie maladive. A cause de tes péchés d’enfant violée aucun pardon, aucun respect ne t’es accordé, Tu n’as le droit à aucune dignité, s’était cela leur marché.
Du chaton Léon à la lionne Cinçon
Tu avais les images, j’avais le son. Tu as eu la jalousie ancrée en toi. J’ai trouvé la confiance en moi. Tu as eu la fuite comme passion, j’ai eu eu la volonté pour mieux sauter. Tu m’as quittée, je me suis écroulée. Tu te perds, je me suis trouvée. Mon âme sœur n’a plus ses couleurs, je lui ai volé, Sans me respecter, tu m’as juger. Tu t’es senti rejeté, je me suis retrouvée abandonné. Pour mieux sauter, tu m’as reniée, telle était ta volonté. Cela m’a permit de m’élever, avec dignité. Tu disais m’avoir pas aimer. Mais tu as voulu m’emprisonnée. En me rejetant tu m’as rendu service. Mais pour toi, m’espionner était ta réalité. C’est tout ce que tu as trouvé pour soulager ta conscience. Car ne pas te jalouser, tu n’as jamais supporter. Ton indifférence a renforcée ma défense. Tu m’as traité de chaton, mais as-tu seulement connu la guerrière ? Tu te pensais sur un pied d’estale, mais la lionne t’en faire tombé, ta chute en sera plus fatale, face à ta débandade de lâche. Avant toi, j’avais rien, après toi j’ai tout eu. Tu as voulu jouer, mais tu n’as pas assumer. Me provoquer a renforcé ta lâcheté, mais cette dernière est restée ancrée en toi. Tu t’es pris pour un roi, mais de quel droit ? Le respect de moi, je l’ai gagné. Tu as voulu jouer a celui qui a le plus de dignité ? Mais pauvre âme sœur qui n’a plus de saveur, tu as perdu toute ta valeur. Tu n’es qu’un voleur de cœur sans aucune pudeur, et plein de rancœur. Moi je suis restée toute en pudeur, Tu dis connaître la passion, Mais tu n’en connais pas la raison. Ma raison m’a donner raison toute en douleur. Tu tournes en rond, j’ai mis le point d’exclamation ! Tu as la maison, mais connais-tu la recette du bonheur ? Tu as dit et assumer de ne pas m’aimer ! Mais cela ne t’as pas empêché, de vouloir m’emprisonner. Pour toi m’espionner était devenu ta réalité, mais sais-tu ce que veut dire dignité ? Ne pas te jalousé, tu n’as jamais tolérer, Ton silence a renforcé ma offencive. Tu m’as traité de chaton, Mais tu ignores tout de la Léon. Tu t’es cru un vrai mâle, mais tu ne connais rien de la valse. Fais attention la rupture est fatale. Avant toi, j’avais rien, Après toi, je me suis trouvée. Tu as voulu jouer, mais attention la partie de carte va s’achevée. La pauvreté en moi est gravée, mais le respect de moi je l’ai trouver. Lequel de nous deux a le plus de dignité ? Mon âme sœur n’a plus aucune saveur, Il est plein de rancœur?Tu m’as jamais ouvert ton cœur Tu as pris le large comme un barge, je suis restée sur la rive sans rire, mais toute en pudeur avec mes valeurs. Tu dis connaître la passion, mais en connais tu la saveur ? Ma saison m’a donner raison. A mes yeux mon âme sœur n’a plus aucune saveur, car j’ai trouver la recette du bonheur.
Elle s'était prise pour Dietrich
Tu t’étais accroupi derrière ton Gabin, comme un actée en épi pour un arrêt pipi. Son couvre képi assoupi ton crépi. Mais on décrépi ton génépi comme le Mississipi. Tu t’es cru en Autriche, tu aguiches ta bonniche sans poids-chiche. On te la déniche mais on sans fiche, on a décidé qu’elle n’était pas ton club sandwich. Mais elle s’était prise pour Dietrich sans pour autant fumer le haschich. C’est comme cela qu’elle était si à l’ouest de Greenwich. Elle voulait déménager à Mucnich, mais Auschwitz te la pousse vers Kiedrich. Elle t’a dit Ich Liebe dich mais toi tu lui as dit Ich Lieben dich nicht sans qu’elle est apprit le yiddish
Je suis folle
Je suis folle d’un passé, jamais justifier. Je suis folle d’un passé jamais récompensé. Je suis folle d’un passé jamais décomposé, je suis folle d’un passé qu’on a oublié. Je suis folle, de tous ces blessés. Je suis folle, d’une justice jamais accordée. Je suis folle, de tous ces moments avec mes fous. Je suis folle, de tous ceux qui m’ont guidée sans m’oublier. Je suis folle, de tous ceux qui ont sut m’aider. Je suis folle de tous qui m’ont élevée. Je suis folle, de me savoir aimer. Je suis folle, de savoir t’aider. Je suis folle, de pouvoir te venger. Je suis folle, de vous aimer. Je suis folle, de toutes mes racines déracinées. Je suis folle, de savoir t’aimer. Je suis folle, d’un futur à venir. Je suis folle, de pouvoir m’accepter. Je suis Folle de me savoir AIMER.
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