Dis toi que tu as....
Dis toi que tu as besoin de moi,
Bonjour poupée brisée....
Bonjour poupée brisée
C'est un cri
C'est un cri, c'est un chant, qui s'est répercuter, sur vos caravanes oubliées. Qu'on a brûlé, après vous avoir gazé.
La Survivor
Tu te croyais libre en étant nomade, tu l’as payé cher un printemps 1941. Ce ne fut pas le meilleur de tes plus jeunes années. Tu te croyais aimé de tes voisins, de tes amis, mais leur lâcheté, t’as poussée à avoir peur de ces hommes en brun qui vous ont promis une vie meilleure. Tu ne pouvais pas te déporter sans te transférer de Jargeau à Drancy. Ton ticket t ’as été offert pour un enfer que certains avaient choisi de taire. Tu as perdu les tiens en chemin vers Sobibor, mais ils ne t’ont pas fait écouter Survivor. Ta sagesse ne t’a pas aidé mais ta foi tu l’as gardée. Tu as cru en ces combattants de l’ombre, cachés dans ces forêts, ils vous ont cherché pour vous protéger, mais ils en ont oublié qu’ils pouvaient en être aussi manipuler. Le phénix en toi, ne s’est jamais réveiller de ce passer, que certains ont préférer oublier. Mais pourtant dans un futur lointain, on mettra sur ton chemin celle qui sera destinée, à te retrouver, pour te guider, vers les tiens pour l’éternité. Elle ne sera pas sorcière, mais son destin est associé au tien, de part vos origines en commun, qu’on a massacrées pour une idéologie qui, après toutes ces années, est toujours d’actualité. Mais elle, elle t’a dans ses gênes, elle les transpire, elle les vibre, elle en rayonne notre Antigonne. Tu reconnaîtras nos lionnes dans cette impasse, mais elle, son regard sera ton phare, son aura t’appellera, elle sera ton arc en ciel. Tu reconnaitras à travers elles, celle que tu aurais dû être, car elles sont celles de demain. Mais elles, elles sont ces quatre mousquetaires que ses quatre anciens sages ont transformés en guerrières. Mais derrière ton image, elles te feront revivre.
Mon passé a ne pas oublié
Vous y avez vécu, vous n'avez pas échappé à votre passé. Au nom d'un passé imposé, vous m'avez blessée pour me laisser guider. Vos pas sans assurance sont mon essence. Vous m'avez aimé sans m'approcher. Vous avez préférée reculer pour mieux me bousculer. Vous m'avez fait prendre cette caravane sans état d’âme. Mais la splendeur reste votre pudeur. Votre liberté vous a été enlevée. Au nom du passé cette caravane est passée. Si vous avez été blessées c’est par le plus grand des péchés. De vos vœux, je vous en veux. N’oubliez pas de regarder les cieux, afin de reformuler de nouveaux vœux.Sans fermer les yeux, du passé, j’ai retrouvé des vieux. D’aussi loin que tu te souviennes, ne retourne pas a Vienne. Tu te sentiras bizarre sans ce blizzard. Posez votre valise dans cette caravane, vous y entendrez ma voix si tel est votre choix, reste sur cette voie.
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