Là-bas tous...

Publié le 25 mai 2024 à 19:50

Là-bas tous ces baraquement n'étaient pas sans grillage. Nos rêves y étaient à l'étroit et pourtant on était pas des sauvages. On avait encore la foi mais plus la force d'y croire. Notre liberté n'était à la portée de nos doigts. Il n'y avait pas de mirage, mais des caillassage contre nos droits, de la part de ceux qui nous ont imposer leur loi. Je t'ai perdu là-bas, mais la vie ne nous a pas laisser le choix. Il y avait des cheminées avec des feux de gaz, sans flammes pour ces femmes avec des bleus à l'âme. L'histoire s'est absenté sur le passé de nos aînés, telle une ingrate, elle a laissé des stigmates dans nos cœurs et notre sang. loin de tout, loin des siens, elle nous mènera sur le chemin, sans oublier nos visages, mais en laissant échapper nos voix. elle nous perdra pas tant qu'elle sera sur nos pas. Elle devra aller là-bas où tout est devenu neuf et sans grillage. Ses rêves sont ses mots sur nos maux, elle mettra un jour, tous ses maux en mots sans oublier ses mômes, que ses hommes tels des fantômes ,lui redonneront l'arôme des ROMS. Dans ces villes et villages, nos droits nous échappent. Laisse lui ses doigts, elle a le droit de ne pas aller droit. Dans ses doigts seront dicté nos fragilités oubliées et souillées, elle les maniera avec agilité, pour transmettre tout l'amour que sa voie a oubliée. Ta fierté n'est passe un droit, son continent sans bagage l'engage à faire barrage à ses diables en rage, pour un passé qu'elle veut oublier. Elle a oublier de cocher l'aire quand elle mangeait ses raviolis, en buvant sa liqueur de pissenlits avec ses cinq cons, sur son balcon à Macon avec ses petites tranches de bacon.


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