De cette tribu sans attribut, tu n'es pas la dernière née, sans en être l'aînée, tu les as menée par le bout du nez. Ces Noël passés, le Père Noël aurait put t'oublier, si tu n'avais pas arrêterd'oublier tes cahiers. Grandir dans ta tête, la vie t'y forcera comme elle a forcé ta mère a le faire. Brûler le collège tu l'as rêver sans en comprendre le pourquoi, mais tu en auras un jour la signification. Comme le pourquoi la maison de ta grand-mère doit brûlée, en la contemplant avec tes aînées, on vous traitera de trainées, a cause d'un passé que vous n'avez pas composé. Le lycée n'est pas ta destinée, ta créativité est ta plus grande capacité. Ne confond jamais rêve et réalité, les rêves connectés ne sont pas la réalité, et ne sont pas des messages qui te guideront avec sagesse, N'oublie pas tous ces ombres qu'on a cramé autour d'un verre cassé. Ne pratique jamais tes capacitées que des ainées insoupconnées voudront t'imposer, comme il l'ont fait à ta mère, qu'elles ont fini par massacré sous prétexte qu'elle devait accepter d'être aimer par un homme, alors que ces dernièers ne lui ont imposer que méchanceté et brutalité. tu es née de la cinq con et d'un pas très doué en musique, mais ils t'ont désiré et aimé. Te maltraiter n'a jamais été son souhait mais on l'a pousser à le faire, tâche de ne jamais les écouter te dévoiler leur vérité. Mais ceux de St Lyé en ont souffert aussi d'être rejeter et de vous rejeter, vous comprendrait peut être un jour pourquoi mais ce ne sera pas ta mère qui renoura tout les liens de ce passé qu'on vous a voler, pour lui imposer sois disant un mâle qui n'avait en lui que lâcheté et méchanté. Ta mére t'a protèger de la grossophobie de cet étranger, mais tu as souffert de celle de sa fille. Ce passé obscur ne doit plus être ignoré, on a poussé t'as mère a ouvrir les yeux en la traitant de trainée, mais n'oublie pas qu'elle t'a aimée et protégé comme tes deux ainées. Protégé là comme elle vous a protégé et qu'elle vous protége encore. A vous quatre vous être ces quatres mousquetaires fusionnels, qu'on veut détruire pour imposer à ta mère un étranger qui n'a jamais su l'aimer et ne sera jamais l'aimer.
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