Tu avais les images, j’avais le son. Tu as eu la jalousie ancrée en toi. J’ai trouvé la confiance en moi. Tu as eu la fuite comme passion, j’ai eu eu la volonté pour mieux sauter. Tu m’as quittée, je me suis écroulée. Tu te perds, je me suis trouvée. Mon âme sœur n’a plus ses couleurs, je lui ai volé, Sans me respecter, tu m’as juger. Tu t’es senti rejeté, je me suis retrouvée abandonné. Pour mieux sauter, tu m’as reniée, telle était ta volonté. Cela m’a permit de m’élever, avec dignité. Tu disais m’avoir pas aimer. Mais tu as voulu m’emprisonnée. En me rejetant tu m’as rendu service. Mais pour toi, m’espionner était ta réalité. C’est tout ce que tu as trouvé pour soulager ta conscience. Car ne pas te jalouser, tu n’as jamais supporter. Ton indifférence a renforcée ma défense. Tu m’as traité de chaton, mais as-tu seulement connu la guerrière ? Tu te pensais sur un pied d’estale, mais la lionne t’en faire tombé, ta chute en sera plus fatale, face à ta débandade de lâche. Avant toi, j’avais rien, après toi j’ai tout eu. Tu as voulu jouer, mais tu n’as pas assumer. Me provoquer a renforcé ta lâcheté, mais cette dernière est restée ancrée en toi. Tu t’es pris pour un roi, mais de quel droit ? Le respect de moi, je l’ai gagné. Tu as voulu jouer a celui qui a le plus de dignité ? Mais pauvre âme sœur qui n’a plus de saveur, tu as perdu toute ta valeur. Tu n’es qu’un voleur de cœur sans aucune pudeur, et plein de rancœur. Moi je suis restée toute en pudeur, Tu dis connaître la passion, Mais tu n’en connais pas la raison. Ma raison m’a donner raison toute en douleur. Tu tournes en rond, j’ai mis le point d’exclamation ! Tu as la maison, mais connais-tu la recette du bonheur ? Tu as dit et assumer de ne pas m’aimer ! Mais cela ne t’as pas empêché, de vouloir m’emprisonner. Pour toi m’espionner était devenu ta réalité, mais sais-tu ce que veut dire dignité ? Ne pas te jalousé, tu n’as jamais tolérer, Ton silence a renforcé ma offencive. Tu m’as traité de chaton, Mais tu ignores tout de la Léon. Tu t’es cru un vrai mâle, mais tu ne connais rien de la valse. Fais attention la rupture est fatale. Avant toi, j’avais rien, Après toi, je me suis trouvée. Tu as voulu jouer, mais attention la partie de carte va s’achevée. La pauvreté en moi est gravée, mais le respect de moi je l’ai trouver. Lequel de nous deux a le plus de dignité ? Mon âme sœur n’a plus aucune saveur, Il est plein de rancœur?Tu m’as jamais ouvert ton cœur Tu as pris le large comme un barge, je suis restée sur la rive sans rire, mais toute en pudeur avec mes valeurs. Tu dis connaître la passion, mais en connais tu la saveur ? Ma saison m’a donner raison. A mes yeux mon âme sœur n’a plus aucune saveur, car j’ai trouver la recette du bonheur.
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