Elle n'était pas en VO notre voyante, elle avait du vocabulaire mais pas les vocalises. Elle était du genre volcanique, mais sa vocation la mène à voguer sans qu'on la voit. Malgré les voiles, elle n'a volé sa gueguette qui n'était pas aux toilettes. Ses voisins étaient assassins, elle le vomissait et le haïssait deux fois plus qu'il ne l'aimait pas malgré qu'il prétendait l'aimer. Il ne supportait pas l'idée qu'elle refuse de croire en son hypothétique amour de sa part, alors qu'elle avait tout les signes de ses mensonges. Qu'elle savait instinctivement qu'il ne l'avait jamais aimé et qu'il ne l'aimerait jamais, car de part ses origines tzigane, elle était devenue sa propre boule de cristal, telle que ses aînées lui avaient imposer sans la consulter en plein mois de décembre. Ses voleurs de cerises n'étaient pas fait de kirch, car ils étaient des camés léon, de simples mangeurs de raviolis et buveurs de liqueur de pissenlits. Tout cela en cochant l'air sur air de guitare, autour de cette reine tzigane, qui n'était pas végane et casher. Elle valait chère, peuchère ! notre vache laitière, sans son veau noir dans cette forêt noire, qui n'était pas de son papy brossard, qui portait son brassard noir et rouge de Sans Slip. Elle partira en voyage, en tirant sa caravane avec sa tuture à pédale qu'un amant d'un soir lui offrira comme cadeau de retrouvaille, afin d'officialiser leurs fiançailles. C'est le message qu'un sage lui a délivré, un soir pour l'aider dans son choix, en lui confirmant qu'on lui délivrerait la cerise de son gâteau sur un plateau d'argent. Sa sagesse, sa connaissance de ses arts divinatoires et son amour inconditionnel des mots corroborent que le choix de son amant d'un soir, était bien le plus sage pour continuer le film de sa vie. Il la mènera vers sa liberté, sans qu'elle est besoin de son livret de circulation.
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