Tu n'as jamais été, ni mon dieu, ni mon maître, tu voulais m'imposer ta volonté, mais tu fuyais comme un lâche. Tes pas étaient sûr et décider à fuir.
J'ai ouvert les yeux, ceux dont on a voulu éteindre la lumière. Il est clair que mes pas sont encore plus déterminés que les tiens. Les miens m'ont mené en enfer, j'y moisirais, j'y crèverais certes comme tu l'a définitivement souhaité. Il n'y plus de lien qui nous retient, je sais qui m'a réellement baigné d'amour. Tu m'a possédé comme une moins que rien. Hors de tes pas, pourtant j'avais choisi la guérison. Mais ton besoin de me détruire a été encore le plus fort. A présent, mes paupières se sont fermer sur l'horizon. Seule le sourire de la prunelle de mes yeux m'a maintenue en vie. Mais même cela tu me l'as détruit. Mes paupières se ferment pour l'éternité; Tu as gagné définitivement la partie. Echec et mat à la Reine.
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